« Je vois, vous vous prenez trop au sérieux pour vous soucier de ce que vous portez et vous mettez disons cet espèce de pull difforme mais ce que vous ne savez pas c’est que ce pull n’est pas juste bleu, il n’est ni turquoise, c’est un pull que l’on appelle céruléens.
Je suppose que vous ignorez parfaitement qu’en 2002 Oscar de la Renta a repris les veste militaires céruléennes... puis il s’est retrouvé dans un bac de liquidation d’une ridicule boutique de prêt à porter.
Quoi qu’il en soit ce pull représente des millions de dollars ainsi qu’un nombre énorme d’emplois et j’avoue que je trouve comique que vous pensiez que ce pull vous exempte du fabuleux monde de la mode alors qu’en faite il a été créé spécialement pour vous par les gens présents dans cette salle ! Parmi une pile de trucs divers ! »

Cit. Le diable s’habille en Prada

Nous, nous sommes les gens qui créent les modes, toute une entreprise chargée de décider de ce que vous porterez demain. Nous vous entendons vous hurler qu’il ne s’agit ni plus ni moins que d’une dictature, mais la faute à qui ?! N’est ce pas vous qui nous mettez sur un piédestal, écoutant le moindre de nos conseils, lisant tous nos magazines… Car oui nous savons tous qu’aussi désintéressé que vous semblez l’être le monde qui vous entoure, et qui obéit à nos moindres caprices vous influence. Vous pensez certainement que tout ce que nous faisons n’est pas vraiment réfléchi, que tout n’est réellement qu’une lubie du moment, et pourtant notre monde à nous n’est pas si éloigné du votre.
Notre entreprise ressemble trait pour trait à celle qui vous emploie, ou que vous pouvez apercevoir à la télé dans certaines émissions voir même dans certaines séries plutôt réalistes.

Bien sur, il serait assez mal vu de mettre notre entreprise au même rang que la plus petite boutique d’Harajuku qui elle se contente de vendre ce que nous choisissons, non, nous nous sommes connus mondialement. Bien que vous ne vous intéressiez pas à notre gagne pain il est évident que vous avez déjà entendu parler de nous : Eien no Kaisha. Mais comment auriez vous put y échapper alors que d’immenses panneaux publicitaires ventent la beauté de nos mannequins et de nos créations ?!
Et des mannequins nous n’en manquons pas, et pourtant ils ne forment qu’une minuscule partie de notre personnel. Oui, je sais vous pensiez certainement que notre monde n’était fait que de femmes longilignes et d’hommes ressemblant traits pour traits à des statues grecques, mais la plupart d’entre nous sont comme vous.

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Située dans l’un des plus grand building de Tokyo, Eien no Kaisha. est une entreprise que tout le monde connaît. Chaque homme, chaque femme et chaque enfant à un jour eu envie de porter l’une de leurs créations. Toutes personnes vivant sur cette terre à un jour entendu parler de la dernière collection de printemps, celle qui les fera une nouvelle fois devenir le numéro 1 mondial de la mode. Mais ce qu’on ne voit pas quand on passe près de ces grands immeubles et de ces panneaux publicitaires c’est sans aucun doute le fourmillement incessant des employés. Entre les designers, les chargés de la communication, les avocats, les attachés de presse et les mannequins, personne ne réalise vraiment l’ampleur que peut prendre une telle société… Et personne ne réalise non plus tout ce qui se cache en dessous. Ici comme ailleurs, les investisseurs n’en font qu’a leurs têtes, jouant avec le stress des employés. Les riches hommes d’affaires veulent tous leur part du gâteau et tout les coups sont permis pour mettre la main sur la société la plus en vue du moment ! Et quand on dit tout, c’est vraiment tout ! Mensonges, escroqueries, arnaques, faux témoignages, tout est bon pour faire plonger l’usine à rêve la plus connue du pays ! Et autant le dire, si le monde peut paraître tout rose dans cet endroit, c’est bien loin d’être le cas…

Et vous ? Homme ou femme ? Quel parti prendrez-vous dans cet univers de beauté ? Vous estimez-vous assez bon pour donner du rêve aux gens et leur permettre de dépenser des fortunes dans vos créations ? Aurez-vous le cran de supporter des manageurs pas toujours très conciliants, de résister à toutes les formes de harcèlement et surtout de vous faire une place dans ce monde cruel qu’est la mode?
Entrez donc dans l’univers de Eien no Kaisha. qui permettra certainement à votre vie de prendre un tournant à 180°.

(c) Eien no Kaisha

« Pfff...Niyama je n'en avais jamais attendu parler avant que l'école où nous étions presque toute ferme ses portes! Vous pensiez sincèrement que nous avons souhaiter entrer dans un lycée qui n'est pas en tête du classement? On a pas eu le choix et maintenant, on se retrouve dans un lycée de fous où les gens sont des délinquants et où ils se battent pour un oui ou pour un non...Le tout dans l'indifférence la plus totale! En tout cas, comptez pas sur moi pour faire le moindre effort...Mon but c'est de passer mes années ici sans même me soucier de ce qui m'entourent même si il s'agit des phénomènes de foire que sont ces 3D! De toute manière, ils ne resterons pas longtemps dans le coin alors autant faire avec et prier pour que cet établissement ne ferme pas à son tour... »

« Ils étaient seuls au départ ; maîtres à bord d’un univers peuplé d’hommes ; elles sont arrivées, ont tout changés et eux aussi … »

Niyama Gakuen ; établissement réputé de la banlieue de Tokyo. Il y a un an encore, seuls les garçons étaient admis dans cet établissement pour jeunes gens riches et de bonnes familles. En fait, il aurait pu en être ainsi pendant longtemps encore si certains élèves n’avaient pas fait parler d’eux dans les journaux, qu’ils ne s’étaient pas retrouvés dans les postes de polices ou qu’il n’aient pas été vus en compagnie de délinquants ! Au fortes têtes, le directeur eu une solution radicale à la rentrée : Les regrouper dans une seule et unique classe afin de les éloignés de ses autres précieux étudiants. Cette classe ? La 3D ; dernier recours pour ceux qui ne veulent pas se retrouver à tourner en rond chez eux et ceux qui veulent tout de même avoir un diplôme. Mais le directeur de Niyama ; imbu de lui-même et fier de l’ancienne réussite de son établissement ne s’arrêta par là. Dans le but de calmer les esprits et les hormones de ses plus mauvais étudiants, il a ouvert l’école à la gente féminine ! Une grande première dans ce lycée très privée ! Une très grande première qui s’accompagna malheureusement de nombreuses autres tensions … Un journaliste à relevé pour vous quelques témoignages de ce nouvel enfer … Ecoutez donc attentivement les voix de Niyama…


« Je vous en prie! Faites vous plaisir! De toute façon, on s'en fiche pas mal d'être confinés dans un coin pourris de ce lycée! Pourquoi? Parce que vous nous le répétez assez, nous n'avons aucun avenir et notre vie ne sera qu'un ramassis d'erreurs...De toute façon, nous sommes toujours les premiers à être accusés de tout et tout le monde le sait...Ce lycée et ces professeurs ne servent à rien, tous des cons qui passent leur temps à nous caresser dans le sens du poil pour mieux nous démolir par derrière! Vous pouvez dire tout ce que vous voulez mais nous savons tous que si vous faites ça c'est uniquement pour cacher notre inutilité aux yeux du monde! »

Ce discours ne laisse aucun doute quand à son hauteur ! Elève apprécié de tout l’établissement, Ogawa Masato est sans aucun doute le chef de la 3D. Quand il parle, on l’écoute et on le suit. Pas étonnant alors que rien ne semble se remettre dans le bon sens dans cette classe qui n’a qu’une seule vocation : Concentrer la délinquances et masquer les erreurs d’un personnel trop peu compétent. N’est-il pas cruel d’être mis à l’écart alors que les jupes plissées font leur arrivée dans ce lycée et que les jeunes filles, fraîches par nature, envahissent les couloirs du bâtiment principal ? Assez de frustrations dans l’esprit de certains, assez pour en échauffer quelques esprits …

La vie à Niyama aurait put continuer ainsi pendant longtemps. Le seul directeur est bien trop heureux d’avoir enfermé les plus mauvais garçons dans ce vieux bâtiment qui donne l’impression de tomber en ruine mais on lui a fait une très mauvaise surprise quelques mois après la rentrée. Après cette terrible fermeture de l’école pour filles qui amena la plupart d’entre elle ici ; ce sont d’autres fermetures qui amenèrent d’autres étudiants dans ce district. Quasiment tous obligatoirement replacés dans Niyama les étudiants qui arrivent semblent être des têtes brûlées bien plus dangereuses que les 3D actuels. Ceux que l’on nomme encore les étudiants transférés ont quasiment tous été envoyés en 3D dés le premier regard sur leurs dossiers scolaires !


« Je suis conscient que je n'arriverais pas à me débarrasser de cette mauvaise graine avant la fin de l'année! Mais je peux vous assurer que cette classe masculine n'entravera pas le bon fonctionnement de mon établissement. Ils sont déjà regroupés à l'autre bout du campus dans ce qui servait autrefois de réserve. Je l'avoue, le bâtiment n'a rien de reluisant mais je ne peux me permettre de les autoriser à traîner dans les couloirs de l'école...Et, pour ce qui est de l'ouverture de l'école aux filles, ne le dites pas mais je compte bien faire d'elle ma plus belle arme contre tous les fauteurs de troubles ainsi que contre tous ceux qui pourraient devenir de futurs 3D. Mon but? Entériner l'explosion de violence et surtout retrouver les excellents résultats qui ont fait la réussite de cette établissement. Le reste? Je ne suis pas en mesure de vous en parler »

Le Directeur ; ses cheveux n’ont pas finis d’être malmenés. Le voilà maintenant obligé de gonfler les rangs de la 3D dans le seul but de maintenir ses bonnes résolutions. Il ne s’en doute peut-être pas mais cette nouvelle vague d’étudiant va lui causer bien des problèmes. Qui a dit que l’actuelle 3D avait tout les droits à Niyama ? Qui a dit qu’elle avait l’autorisation de faire la pluie et le beau temps sur ce territoire ? En tout cas, les filles comme les étudiants transférés ne semblent pas toujours d’accord avec le fonctionnement de cette classe et si certains se contente d’y jeter un regard malsain ; d’autres ont bien l’intention de renverser la vapeur quoi qu’il en coûte. Niyama ne sera plus alors un établissement pour l’élite mais bien un zoo, une zone de conflit pour savoir qui dirigera … Il est triste de voir un établissement scolaire se transformer en jungle urbaine non ? Tellement triste qu’il serait bon d’agrandir le bâtiment des 3D et qu’il va bientôt falloir en construire un pour les filles si les choses ne se tassent pas …

La 3D ; classe qui fait peur aux adultes. Lettre qui ne permet rien comme avenir et qui tue dans l’œuf tout projet futur. Zone a marquée au fer rouge et qui est en constant mouvements. Les conflits y imploseront à force qu’on laisse cet endroit sans aucune surveillance et sait-on seulement ce qui pourrait arriver aux autres élèves de cet établissement ?

Rédigé par Kazuki Ryuichi
Avec l'aide de Minami ;
Inspiré de Gokusen

Tokyo.. Une bien grande ville, composée de quartiers d'affaires, de zones d'habitations... Il y a aussi un côté plus.. Secret. Celui de la nuit. Si vous cherchez un peu, en prenant certaines ruelles... Vous découvrez alors un monde tout autre. Prostitution, trafiques, marché noir...
A la limite entre cette ville de jour et cette ville de nuit se trouve Shin'Ya, un host club... Un lieu mystérieux pour toute personne qui y est étrangère...

Shin'Ya... Son nom signifie pleine nuit, minuit... Il s'agit officiellement d'un simple bar, mais c'est en réalité un bar d'hosts, ou d'hôtes, comme vous le souhaitez. Ce lieu est remplit d'être masculins tous plus resplendissants les uns que les autres : coiffure sophistiquées et travaillées avec art, gestes précis, présences indiscutablement charmeuses... Leur métier est de vendre du rêve aux femmes. Moyennant finance, ils se plient à tous leurs désirs...
Le fonctionnement d'un Host Club n'est pas compliqué à comprendre. Les Hosts vont chercher de nouvelles clientes dans les rues avoisinantes, puis les ramènent au club. Le livre avec les photos de tous les Hosts du club leur est alors présenté et les femmes font le choix d'un host, qu'elles garderont toujours, il leur est attitré. Un host peut être attitré à un nombre illimité de femmes. Parallèlement, d'autres hosts que l'host attitré peuvent venir tenir compagnie à la femme.
Le but premier des hosts, afin d'assurer leur survie, est d'inciter les femmes à consommer, c'est-à-dire à acheter de l'alcool. A la fin de chaque mois, un classement des hosts est effectué, celui qui a rapporté le plus d'argent au club trouve la place de N°1...
Mais leur travail est souvent plus profond que cela : écouter, amuser, réprimander, gagner la confiance, offrir un amour factice, guérir les cœurs endoloris, donner un maximum de sensations... Une ambiance détendue, pluie de compliments, galanterie... Un monde idéal.

Mais peut-on ou non réellement acheter l'amour d'une personne ? Oui, non...
Oui ?




Vous pouvez choisir d'être un host ou une cliente... Vous vivrez votre vie de tokyoïte le jour et changerez de peau la nuit... Qui aimera qui ? Parviendrez-vous à acheter l'amour d'un homme ? Céderez-vous à l'argent des femmes ?
Poussez les portes de Shin'Ya et... Advienne que pourra !